Rétrocession d’une parcelle au profit de Femmes fortes de Batchenga
« On souhaite emmener les promotrices des coopératives du secteur cacao à comprendre qu’avec les règles de bonnes pratiques agricoles, des bonnes semences, de bons produits de traitement et un bon encadrement, elles peuvent s’auto prendre en charge ».
Charlie Simplice Bessak Bayang,Lead Marketing and Stratégie Structure UPL ARYSTA CAMEROUN
La ville de Batchenga dans le département de la Lekié région du Centre abritera le 17 juillet 2024, une réunion regroupant les promotrices des coopératives du secteur CACAO, quelle est son importance ?
Il s’agit d’une réunion de rétrocession de la parcelle de diversité mise en place par les partenaires Telcar cocoa,UPL Arysta Cameroun et Syngenta AG au profit de Femmes fortes à la demande de Mme Kate, Directrice Générale de Telcar COCOA. Il est question ici de répondre au programme de diversité cher aux structures telles que Telcar Cocoa UPL Arysta Cameroun et SYNGENTA AG, qui cherchent à améliorer les revenus des producteurs de cacao.
Qui est concerné par cette rencontre ?
Elle concerne essentiellement les femmes productrices de cacao encadrées par la société TELCAR CACAO. Les principaux partenaires impliqués sont Femmes fortes, Telcar cocoa,UPL Arysta Cameroun et Syngenta AG.
Quel est le bienfondé de ce rendez-vous au profit de ces patronnes des coopératives de Batchenga?
Il sera question à travers ce rendez-vous de répondre au programme de diversité cher aux structures telles que Telcar Cocoa UPL Arista Cameroun et SYNGENTA AG, qui cherchent à améliorer les poches des producteurs de cacao.
A quelles difficultés sont-elles exposées ?
Elles sont très impliquées dans la production du cacao et dépendent fortement de la période de récolte des fèves de cacao. On souhaite les amener à comprendre qu’avec les règles de bonnes pratiques agricoles, des bonnes semences, de bons produits de traitement et un bon encadrement des structures comme Telcar cocoa,UPL Arysta Cameroun et Syngenta ,elles peuvent s’auto prendre en charge.
Entretien réalisé par joseph kapo